Ici j'ajouterai, aussi souvent que possible, les chansons tamoules qui m'ont marqué, soit par la musicalité, soit par les paroles, soit par la qualité de la vidéo clip, soit par les trois à la fois, si si ça peut arriver LOL
... et oui... personne n'est parfait :-)
bon je n'ai pas (encore) vu le film Sakkarakkatti mais cette chanson me fait sourire ... il faut que je me me depech parce quon mattend a chennai il faut que je me me depech parce quon mattend a chennai il faut que j'aille prendre le Taxi prendre le Taxi a Paris il faut que j'aille prendre le Taxi prendre le Taxi a Paris ... thillaanaa thillaanaa thimiru pudichcha thillaanaa anbaa naa anbaa naa adangamaattaen hero naan kaLLaththanam theriyaadhu kaadhaliyae kidaiyaadhu .... (ha ha ha LOL)
En ce moment je passe en boucle les différentes versions de "Why this kollavery dii ? " et quelques chansons de M.I.A. La version Jaffna est particulièrement bien réussie, merci aux créateurs et à l'auteur de cette belle chanson tamoule.
Et je me demande pourquoi M.I.A ne reprendrait-elle pas cette chanson à sa façon à elle ?... j'espère qu'elle le fera, en tout cas, je lui soumets l'idée ;-)
Tous les ans, au mois d'avril commence une nouvelle année pour les Tamouls.
L'année 2012 pour le calendrier grégorien correspond à la 5113e année dans le calendrier tamoul.
Un mois compte entre 29 et 32 jours.
Selon le calendrier lunaire, le nouvel an se fête soit le 13, 14 ou 15 avril. Ce changement de date est lié au nombre de jours composant l'année précédente. On offre des gâteaux à base de riz, de lait et de sucre et on demande aux dieux de veiller sur soi.
Le 13 avril 2012 pour les français sera équivalent du 1er janvier 5113 pour les tamouls.
Élément traditionnel du nouvel an tamoul, la préparation et le partage des repas spécialement conçus, un mélange de six saveurs, dont le sucré, du salé, l’aigre-doux, l’amer, qui représentent les différentes composantes du quotidien, les bons moments comme les mauvais moments.
Il est aussi de coutume le jour du nouvel an d’écouter la lecture du Pandjangam. Cette lecture révèle les prévisions pour la nouvelle année.
Le Pongal — பொங்கல் littéralement bouilli par-dessus en tamoul — aussi appelé Makar Sankranti dans d'autres régions de l'Inde, est une fête des moissons et d'actions de grâce, mais aussi propitiatoire de l'Inde.
Le Pongal est historiquement une fête séculière indépendante de l'hindouisme, ce qui pourrait indiquer une origine très ancienne. Principalement célébré en Inde du Sud, particulièrement au Tamil Nadu, en Andhra Pradesh et au Karnataka, il l'est aussi à Singapour et en Malaisie où il existe des communautés tamoules. Malgré cette prépondérance de l'Inde du Sud, on reconnaît cette fête dans d'autres parties de l'Inde, dans le Nord par exemple où elle porte le nom de Makar Sankranti. Au Maharashtra et dans le Goujerat, elle prend la forme d'un concours de cerf-volant. Au Penjab et en Haryana elle est célébrée sous le nom de Lohri.
La Tradition : Le Pongal est aussi connu sous le nom de Tamizhar Thirunal. La fête a lieu généralement le 14 ou le 15 janvier qui est le premier jour du mois Thai du calendrier tamoul. Un proverbe tamoul dit : Thai Pirandhal Vazhi Pirakkum (தை பிறந்தால் வழி பிறக்கும்), soit La naissance du mois de Thai pave la route de nouvelles opportunités.
La fête dure quatre jours. Au cours du premier, Bhogi, les vieux tissus et vêtements sont jetés et brûlés, marquant le début d'une nouvelle vie. Le deuxième jour, le jour du Pongal, on met à bouillir du riz avec du lait frais et de la mélasse ou du sucre brun, tôt le matin, en laissant le mélange déborder, ce qui explique le nom de la fête. Les gens préparent des en-cas et des desserts, se rendent visite l'un l'autre et échangent des vœux. Le troisième jour, Mattu Pongal, est destiné à rendre grâce aux vaches et aux buffles, car la légende dit que le bétail accepta d'aider l'homme à labourer les champs, à seule la condition d'être fêté et honoré une fois par an. Une preuve de dévotion est demandé, où l'on demande à des dévots de Shiva de maîtriser sa monture sauvage, à main nue et à leur risques et périls, le véhicule du dieu Shiva étant le taureau, pratique appelée Jallikattu. Le dernier jour, Kanum Pongal — « kanum » signifiant à voir — les jeunes gens se réunissaient sur les rives des rivières pour y chercher un futur conjoint, une pratique qui est tombée aujourd'hui en désuétude. Durant cette période les gens consomment de la canne à sucre et décorent leur maison avec des kolam.
La fête a une signification astrologique aussi, elle marque le début de la période de l'Uttarayana, celle où le soleil parcourt dans le ciel ses six mois de course les plus septentrionales. Dans l'hindouisme, Uttarayana est considéré comme auspicieux, opposé à Dakshinaayana, le mouvement méridional du soleil. C'est dans cette période que l'on planifie les évènements importants. Makara Sankranthi fait référence à l'entrée du soleil dans le signe zodiacal du Makara, c'est-à-dire du Capricorne.
Demain, mardi 7 février l'association Les Femmes Actives de Cugnaux
organise à 14 h 15 à la salle Paul Eluard une conférence avec diapos
présentée par M. Gensanne (guide accompagnateur) sur le thème
« Le Tamil Nadu » de Pondichéry à Tanjore (Inde du sud). Situé à
l'Est de la pointe méridionale de l'Inde, l'Etat du Tamil Nadu mérite à
lui seul sans aucun doute cette conférence. Le pays tamoul est en effet
une terre d'une rare richesse culturelle et historique. Une terre restée
très attachée à l'hindouisme, et peu touchée par l'islam. De véritables
trésors architecturaux enracinent son histoire.
C'est une des régions les moins touchée par la mousson d'été, Madras,
la capitale (également nommée Chennai), évoque d'abord des étoffes aux
couleurs vives.
Lieu incontournable, le centre historique de l'ancien comptoir
français de Pondichéry et ses rues calmes bordées de charmantes maisons
coloniales. Gratuit pour tous , tél.: 05 61 92 20 55.